A partir de quand l’outil de carto devient ingérable pour un journaliste du central, et quand doit on passer à une production manuelle plutôt qu’automatisée ? C’est cette question que nous avons retourné ce matin avec Jérémie, et à laquelle nous n’avons toujours pas de réponse claire.  

Il y a quand même deux options :

Une première option :

- les événement ponctuels dans des lieux particuliers :  météorologiques, catastrophes naturelles, accidents, explosions, actions militaires. On aura plutôt affaire dans ce cadre à des choses simples, en cours de définition. Il suffira de choisir et de poser sur la carte. Voila quelques exemples :

Une seconde option  :

le travail de cartographie est plus complexe et dépasse la carte de situation événementielle pour donner plus de détails. Dans ce cas, il faut pouvoir couvrir une palette assez large de symboles sur un sujet donné.

Militaires • véhicules • troupes • explosions/bombes…

Environnement industriel  : • usines • puits de petrole/forage/symbole (baril) • pipelines (lignes) • gaz • nucléaire (usines/ symbole)

Sportifs/sports …

Sciences …

…

Dans tous les cas, je suis confronté au traditionnel problème de lisibilité sur les fonds de carte complexes de Google.

Plusieurs options : 

• Des icônes soutenus par un blanc tournant :

• Des icônes sur fonds de palettes ou de ronds :

• D’autres jeux d’icones, avec effets de transparences ou effets graphiques :

J’ai aussi retouché le pavé du nom de ville (en rouge) qui est un peu rugueux en l’état, je trouve (ajout de corners, respiration dans le pavé, léger gradient sur la pointe, un seul bloc)